Actualités

Les associations du réseau France Victimes, fortes de leur implantation sur tout le territoire et de leurs 1500 professionnels, se mobilisent et se sont mises à disposition des pouvoirs publics pour venir en aide aux Ukrainiens qui arrivent en France. 
 
Ainsi, dans le Var, sur mobilisation du Préfet, l'association AAVIV a mis en place et coordonne un guichet unique d'accueil des familles, tout d'abord dans ses locaux puis au Gymnase des Lices, mis à disposition par la Ville de Toulon. 
 
À travers l'organisation d'un parcours d'accueil, et après s'être vues délivrer une autorisation provisoire de séjour, les familles, selon leurs besoins, peuvent accéder à un logement, se voir ouvrir des droits aux soins, à l'éducation ou à l'emploi, mais aussi bénéficier de soutien d'apprentissage de la langue, de dons et d'aides financières. 
Depuis l'ouverture de ce guichet le 5 mars, se sont près de 700 réfugiés qui ont ainsi bénéficié de cet accompagnement.
 
Lors du Conseil d'administration qui s'est tenu samedi 12 mars, le Conseil d'Administration a souhaité voter une motion à ce titre, de la teneur suivante :  
 
"Au titre de la solidarité et de l'aide due à chaque personne victime, et des valeurs humanistes et universelles portées par les associations d'aide aux victimes, le Conseil d'administration de la fédération France Victimes se mobilise. En complémentarité avec d'autres dispositifs, il rappelle la compétence des professionnels du réseau France Victimes pour accueillir, aider et accompagner les familles ukrainiennes et françaises expatriées touchées par la guerre qui sont ou seront accueillies en France". 
 
Enfin, lors d'une visite sur place, le mercredi 23 mars, la fédération France Victimes a organisé une réunion en visio avec l'ensemble de ses associations adhérentes et a rappelé qu'il était de notre devoir de solidarité, et de notre compétence, de pouvoir aider ces populations victimes de la guerre en Ukraine, en complémentarité avec les autres organismes. 
 
Ressources :
 
pdf Un livret d'accueil (492 KB) est mis à disposition des personnes déplacées d'Ukraine. Ce guide a pour objectif de donner les informations indispensables pour leur séjour sur le territoire français.
 
- Le Cn2r à rédigé des recommandations d'accueil des réfugiés, pour le lire c'est ici.

À l'occasion de la journée internationale des droits des femmes,  le MARS France Victimes 51 et le CHU de Reims ont inauguré la Maison des femmes de Reims. 

Des représentants de la Fédération (Jérôme Moreau, Vice-Président et Michel De Sousa, Chargé d’animation réseau), s’y sont rendus également et ont pu féliciter l’engagement de l’association locale France Victimes pour ce lieu dédié à la prise en charge des femmes victimes.

Qu’est-ce que la maison des femmes ?

C'est une structure unique, identifiée, sécurisante, multipartenariale, qui accueille toutes les femmes victimes d’infractions pénales (violences intrafamiliales, sexuelles, sexistes, harcèlement au travail etc.) ainsi que leurs enfants.

Co-portée par le MARS France Victimes 51 et le CHU de Reims, la Maison des Femmes présente un triple objectif :

  • Proposer un guichet unique de prise en charge des femmes et des enfants victimes ;
  • Proposer et assurer un parcours individualisé aux femmes et aux enfants victimes ;
  • Réaliser ce parcours individualisé à la fois socio-judiciaire et médical, sur un même site, par un développement de l’échange pluridisciplinaire.

Elles seront accueillies par des personnes expertes dans la prise en charge des victimes.

De plus, l’association travaille en étroite collaboration avec la police, la gendarmerie et la justice et assure quotidiennement un accompagnement global et personnalisé des victimes dans les domaines psychologique, juridique et social.

 
 

 

La plaquette institutionnelle a été remise au goût du jour avec un nouveau graphisme et des éléments actualisés. Elle permet de présenter la Fédération, ses valeurs, les services du Réseau associatif et professionnel, ainsi que l'actualité des implications et des partenaires.

N'hésitez pas à vous en saisir juste ici :  pdf Plaquette Institutionnelle 2022 (3.08 MB)

Par ailleurs, de nouveaux flyers France Victimes sont également à disposition :  pdf FlyerFV 2023 (245 KB)


 

Le nouveau pôle judiciaire dédié aux affaires non élucidées et aux crimes en série a vu le jour le 1er mars 2022. Une création inédite attendue depuis de longues années par les familles de victimes et leurs avocats, et portée par le garde des Sceaux dans le cadre de la loi pour la confiance dans l'institution judiciaire promulguée en décembre 2021.

« Pour les victimes, pour les familles, ces vieux dossiers, ce sont des souffrances toujours vives et, à mesure que le temps passe, elles peuvent avoir le sentiment, au fond, qu’on n’y arrivera plus. Le temps qui passe est le plus mauvais ennemi de l’élucidation d’une affaire. Ce pôle doit permettre à ces dossiers de rester vivants judiciairement et d’offrir une réponse aux victimes. » a déclaré le garde des Sceaux.

UN PÔLE NATIONAL UNIQUE À NANTERRE

On dénombre aujourd’hui en France 173 crimes non élucidés pour lesquels la justice est saisie et 68 procédures susceptibles de viser des crimes sériels soit au total 241 dossiers. Afin de répondre à la spécificité des crimes sériels ou non élucidés, la loi du 22 décembre 2021 pour la confiance dans l’institution judiciaire a ainsi créé un pôle national unique afin que ces faits ne restent pas impunis et que leurs victimes ne tombent pas dans l’oubli.

Installé au tribunal judiciaire de Nanterre, dans le ressort de la cour d’appel de Versailles, ce pôle donne la possibilité, selon le ministre de la Justice « de concentrer les efforts, de les centraliser et de les coordonner » autour de ce qu'on appelle plus communément les « cold cases », les cas jamais résolus. Il permet notamment de faire des liens entre les procédures complexes ou non élucidées disséminées sur le territoire national, de créer un point de contact unique pour l'entraide judiciaire européenne et internationale concernant ces crimes. 

Ce pôle est composé de trois magistrats instructeurs spécialisés, coordonnés par la magistrate Sabine Kheris qui l'a rejoint en qualité de première vice-présidente. Un vice-procureur vient renforcer le parquet. Trois greffiers, un assistant spécialisé, un juriste assistant et deux officiers de police judiciaire mis à disposition par le ministère de l’intérieur complètent cette équipe détachée à 100 % sur ces dossiers, « pour éviter que jusqu'à quatre magistrats ne puissent se succéder sur un même dossier » explique le ministre, qui souhaite que les magistrats aient « toute la liberté de poursuivre avec les enquêteurs initiaux ou de saisir un service spécialisé dans ces crimes non élucidés, comme la division Diane à Pontoise par exemple ». Une co-saisine des enquêteurs initiaux et des services spécialisés est aussi tout à fait possible. 

Par ailleurs, une réflexion partenariale est en cours avec la fédération France Victimes afin d’accompagner les victimes et les familles dans ce processus et de pouvoir leur expliquer au mieux le fonctionnement de ce pôle crimes sériels et non élucidés.

Ce pôle inédit traite les affaires non élucidées après dix-huit mois d’investigations infructueuses. Les victimes peuvent solliciter l’avis du parquet pour que leur affaire – ou leurs affaires s’il y a plusieurs familles concernées – soient transmises à ce pôle.

Les empreintes génétiques des victimes de ces crimes non élucidés, ou, avec leur accord, des membres de leurs familles, pourront être inscrites au FNAEG (Fichier national des empreintes génétiques), afin qu’elles y soient conservées aux fins de comparaisons ultérieures notamment dans le cadre de faits sériels. 

Concernant la conservation des scellés, le garde des Sceaux indique qu'une « attention bien particulière sera apportée à la fois à la conservation de ces pièces mais aussi à leur utilisation et à leur exploitation ». 

Pour télécharger le communiqué de presse, c'est ici :  pdf CP Pôle affaires non résolues 28 02 2022VF (405 KB)


 

L’expographie a débuté en novembre 2021 et a l'ambition de toucher 500 villes, avec le soutien déjà, de près de 400 marraines venant des mondes politique, artistique, culinaire, sportif ou médiatique.

L’objet de cette exposition itinérante est de marquer les esprits via des textes et des photographies afin de sensibiliser sur les violences conjugales et le phénomène de l’emprise, en proposant des outils.

Jérôme Moreau, vice-président de la Fédération et de Victim Support Europe et Olivia Mons, porte-parole ont été reçus par le ministère des Outre-Mer afin de parler du déploiement de l’expographie Mots et Maux de Femmes, lors de la journée européenne des victimes le 22 février 2022.

Depuis cette journée, l’expographie est arrivée dans les territoires ultramarins, en débutant par la Guadeloupe, la Guyane, Saint-Martin, puis Mayotte et la Nouvelle Calédonie. Elle ira par la suite en Martinique, à La Réunion et en Polynésie.

Le 9 mars 2022 a eu lieu l'inauguration de l'exposition, soutenue par le Rotary Club, accueillie dans les locaux de la Communauté du Pacifique à Nouméa en présence de 4 marraines et de Justine Molinier, directrice de l'ADAVI France Victimes Nouvelle Calédonie, et puis au Centre Culturel Tjibaou à partir du 24 mars, à l’occasion de la journée internationale pour le droit à la vérité en ce qui concerne les violations flagrantes des droits de l'homme et pour la dignité des victimes.

Par ailleurs, le Collectif diffusera également l'exposition dans certains consulats de France à l'étranger.

Pour en savoir plus, vous pouvez retrouver un récapitulatif d’articles de presse Outre-Mer et métropole juste ici.


 

Cette année, et à l’occasion de la journée nationale des victimes de terrorisme l’œuvre nationale du Bleuet de France fait appel aux dons du grand public pour venir en aide, avec l’ONACVG, aux victimes de guerre et des actes de terrorisme.

Cet appel au don est spécifiquement en faveur des enfants victimes du terrorisme.

La France connaît une hausse des traumatismes de masse liés au terrorisme. Encore peu étudiés, surtout chez les moins de 3 ans, les traumatismes pédiatriques représentent pourtant une part importante.

Pour ce faire, une cagnotte en ligne a été créée à l’adresse suivante : https://www.onac-vg.fr/nos-projets/soutenons-les-enfants-victimes-du-terrorisme


À l’aube de l’élection présidentielle de 2022, et alors que l’égalité femmes-hommes a été définie comme Grande cause de l’actuel quinquennat, le chemin à parcourir est encore long puisque :

  • Plus de 25 % des femmes perçoivent en moyenne une rémunération inférieure à celle des hommes,
  • 70 % des bénéficiaires de l’aide alimentaire sont des femmes,
  • Près de 75 % des femmes estiment s’impliquer davantage dans les tâches domestiques que leur conjoint…

C’est pour cela que cette année, Make.org organise une grande consultation citoyenne du 7 mars au 9 mai 2022 sur la plateforme https://make.org/FR/consultation/inegalitesfemmes/selection  

L’objectif est simple, les citoyens sont invités à répondre à la question « Comment lutter contre toutes les inégalités subies par les femmes ? » en proposant une ou des solutions, ou alors à voter pour les propositions qui ont déjà été formulées.

À l’issue de cette consultation, Make.org invitera toutes celles et ceux ayant participé à la consultation et l’ensemble de ses partenaires (associations, entreprises, institutions, experts, médias…) à des journées d’ateliers de réflexion et de co-construction pour transformer les idées prioritaires issues de la consultation en pistes d’actions concrètes. Jusqu’en mars 2023, ces pistes seront qualifiées et enrichies pour aboutir à un plan national de 5 à 10 actions.

La fédération France Victimes est partenaire de cette grande cause et nous vous invitons a y participer, en cliquant juste ici.


Santé - Justice : une nouvelle ambition au service des victimes

La politique publique de l’aide aux victimes a fortement évolué ces dernières années et force est de remarquer, que les nouvelles questions et problématiques qui s’imposent, interrogent nos accompagnements. De nouveaux partenariats doivent naître, de nouvelles pratiques se font jour et un lien de plus en plus étroit se tisse entre la justice, les associations et les structures sanitaires pour assurer l’effectivité des droits des victimes et impulser les conditions idoines de leur juste réparation ou restauration. Les différents événements collectifs, la lutte contre les violences faites aux femmes, la découverte de l’ampleur du phénomène d’inceste, les conséquences des accidents sur la voie publique pour ne citer que ces exemples, démontrent la nécessité de posséder une vision clairvoyante et objective de la prise en charge des personnes touchées par une infraction ou un événement traumatique. 

D’ailleurs, les dernières circulaires du Ministère de la Justice font bien état de ce travail indispensable entre les structures publiques et associatives. Par ailleurs, le cloisonnement des interventions ou des intervenants ne concourt pas à considérer la globalité des accompagnements des personnes, loin s’en faut. Nous le savons, le travail de coordination et de maillage est souvent générateur d’efficacité et de fluidité, il est aussi bienveillant à l’égard des victimes et vecteur de protection et de garanties. 
Pour pallier ces constats, il faut donc déployer une nouvelle approche et examiner les pratiques ou dispositifs qui peuvent être mis en place pour assurer une pluridisciplinarité des équipes et une interministérialité des actions. C’est ainsi que les questions d’expertise, le renouveau des unités médico-judiciaires, la création des unités d’accueil pédiatrique Enfance en Danger, l’expertise, les questions de résilience sont autant de thèmes qui doivent conduire à redéfinir les contours de l’aide aux victimes.

Thématiques  abordées : Dispositif de détection de la dangerosité par les forces de l’ordre ; Coordination des signalements des médecins pour l’enfance et les violences intrafamiliales ; L'expertise, l'élément clef de la reconnaissance du préjudice ; Les chiens d’assistance judiciaire ; La maison des femmes : modèle et bébé ; Reconstruire la victime autrement ; L’indemnisation des victimes : le cas des victimes d’accidents médicaux ; Justice et Santé : une nouvelle ambition dans l’espace européen ? ...
 

28 et 29 juin 2022
La Maison - 58000 Nevers

Formulaire d'inscription en ligne 

pdf Pré programme Assises Nationales 2022 (1.69 MB)  (sous réserve de modification)

Listing des hôtels, gîtes et chambres d'hôtes (rayon de 20/25min de la Maison de Nevers)

Renseignements auprès de ANDAVI - France Victimes 58 : 
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou par téléphone au 03 86 36 67 83


 

 

La Journée internationale des droits des femmes trouve son origine dans les manifestations de femmes au début du XXe siècle, en Europe et aux États-Unis, réclamant des meilleures conditions de travail et le droit de vote. C'est en 1975, lors de l'Année internationale de la femme, que l'Organisation des Nations Unies a commencé à célébrer la Journée internationale des femmes le 8 mars.

Le 8 mars est donc une journée de rassemblements à travers le monde et l'occasion de faire un bilan sur la situation des femmes.

Nous comptons sur vous pour soutenir cette journée de sensibilisation consacrée à la reconnaissance des droits des femmes !

Mobilisons-nous et partageons cette culture commune !

Cette année, France Victimes et son Réseau se sont mobilisés à travers différentes actions mises en place pour aider, sensibiliser, informer aux droits que les femmes peuvent avoir aujourd’hui :

Les numéros existants :

116 006 numéro « d’aide aux victimes », 7j/7 – 9h-20h

39 19 numéro « stop violences conjugales »

112 numéro européen

Les outils existants :

Mémo de vie, plateforme gratuite et sécurisée permettant de proposer, une solution innovante, ancrée dans le temps, pour faciliter la prise de conscience, soutenir la mémoire, sécuriser des données sensibles, s’informer et accéder à des ressources, contacts et informations utiles, via 4 fonctionnalités cœur.

The Sorority, est une application sécuritaire qui fonctionne avec un système de géolocalisation des femmes entre elles. Ainsi, si l'une d'elles est en danger, elle peut alerter les autres via un bouton ad hoc. Une notification est alors envoyée aux femmes alentour, qui pourront géolocaliser la personne subissant l'agression.

Mon Shérif, qui est un petit bouton connecté à porter sur soi qui permet de réagir efficacement en cas d'agression. En 1 seul clic, il permet de communiquer la position géographique de la personne accompagnée du message qu’elle aura rédigé au préalable pour les informer.

App'elles, est une application mobile solidaire des femmes victimes de violences. App-Elles® a pour but de répondre aux principaux besoins d'assistance et de soutien des victimes et des témoins confrontés à une situation de violence présente, passée ou potentielle.

 

Le tchat de En avant toute(s) est gratuit, anonyme, sécurisé et bienveillant. Il permet d’être mis en relation avec des professionnelles qui écoutent, conseillent, et redirigent vers les structures souhaitées. Il est ouvert du lundi au samedi de 10h à 21h et disponible sur ordinateur, tablette et téléphone portable à partir du site commentonsaime.fr ou en cliquant sur “Je discute avec une professionnelle” sur le site enavanttoutes.fr en haut à droite de l’écran.

Le site internet droitdirect.fr propose des fiches d'informations gratuites et régulièrement mises à jour par des experts juristes, avocats, assistantes sociales etc. Il y a les informations principales pour comprendre les violences, connaitre la loi et les dispositifs juridiques et sociaux pour se protéger, et protéger les enfants.

Le site internet parcours-victimes.fr vient en aide aux adultes ainsi qu’aux mineurs dans le but de les accompagner dans les 5 étapes clés qui composent leurs parcours, depuis les faits subis jusqu’à l’éventuelle indemnisation. Et ce, pour toutes les formes de violences que la victime subit, qu’elles soient physiques, psychologiques (agression verbale, humiliation, harcèlement) ou sexuelles, actuelles ou passées, uniques ou répétées.

Les actions de la Fédération et de nos associations :

Cidff 14 FranceVictimes a proposé un ciné débat sur le film « Les Invisibles » de Louis-Julien Petit à 20h au cinéma Le Majestic à Lisieux. L’entrée est gratuite pour les femmes.

Pour en savoir plus sur le film, c’est ici : https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=261561.html

 

La MARS France Victimes 51 et le CHU de Reims ont inauguré officiellement la Maison des Femmes avec un triple objectif :

  • Proposer un guichet unique de prise en charge des femmes et des enfants victimes ;
  • Proposer et assurer un parcours individualisé aux femmes et aux enfants victimes ;
  • Réaliser ce parcours individualisé à la fois socio-judiciaire et médical, sur un même site, par un développement de l’échange pluridisciplinaire.

La fédération France Victimes s'est rendue aux États Généraux du droit de la famille et du patrimoine. Ce grand rassemblement du Barreau de la famille permet aux praticiens de se former et d'échanger sur les pratiques et offre également une tribune reconnue de notre profession permettant d'interpeller les pouvoirs publics sur la justice familiale. 

L’objectif était d’y présenter notre plateforme gratuite et digitale Mémo de Vie.

 

France Victimes 71 a communiqué sur l’accompagnement et les moyens de protection que l'association et la justice mettent à leur disposition afin qu’elles puissent rompre le silence et le secret qui entoure ce type de violences.

Pour en savoir plus, veuillez lire l'article juste ici.

ACFAV FranceVictimes Mayotte a proposé un concours d’écriture qui s’adresse aux femmes de 6 ans et 25 ans : « Quelle place j’aimerais avoir, en tant que femme, dans la société mahoraise d’aujourd’hui et de demain ? ».

Le 8 mars, l’association s'est rendue à la Place de la République à Mamoudzou afin d’y mettre en avant les 3 textes primés par les auteurs et une remise de prix, mais également pour y présenter l’expographie Mots et Maux de Femmes

 

 

Pour rappel, l’expographie Mots et Maux de Femmes est itinérante et a pour objectif principal de marquer les esprits via des textes et des images afin de pouvoir sensibiliser sur les violences conjugales et le phénomène de l’emprise, en proposant des outils.

Depuis la Journée Européenne des Victimes du 22 février 2022, l’expographie est arrivée dans les territoires ultramarins, en débutant par la Guadeloupe, la Guyane, Saint-Martin, puis Mayotte et la Nouvelle Calédonie. Elle ira par la suite en Martinique, à La Réunion et en Polynésie.

Elle a pour ambition d’atteindre 500 villes, et a déjà le soutien de près de 400 marraines.

 

Vous pouvez également nous mentionner 

France Victimes : Facebook (@FranceVictimes), Twitter (@FranceVictimes), Instagram (@FranceVictimes), Linkedin (Fédération France Victimes) 

Mémo de Vie : Twitter (@memodevie), Facebook (Mémo de Vie), Instagram (@memodevie), Linkedin (Mémo de Vie)


Dans le cadre de la Journée Européenne des Victimes du 22 février 2022, Monsieur le Garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti s’est rendu dans la matinée sur la plateforme d’appel du 116006, dans nos locaux à Paris pour échanger avec la responsable de la plateforme et les écoutants.

Le Ministre de la Justice, dans le cadre de la Présidence française de l’Union européenne, avait annoncé la veille avoir encouragé tous les autres États européens à faire du 116 006, numéro d’aide aux victimes, géré en France par France Victimes, un numéro européen unique d’orientation pour toutes les victimes. Celles-ci pourront ainsi contacter ce numéro, avant d’être ensuite le cas échéant redirigées vers des associations qui les accompagneront plus spécifiquement et au plus proche du terrain selon leur situation et leur lieu de vie.
Actuellement, 13 États-membres de l’Union européenne sur 27 utilisent ce numéro.

Accueilli et remercié par Maryse Le Men Régnier et Jérôme Moreau, respectivement présidente et vice-président de la fédération France Victimes, de cette initiative. La présidente lui a proposé que les horaires d’écoute des victimes sur la plateforme 116 006 soient portés à 24h sur 24h, afin de prendre mieux en compte toutes les situations et notamment les territoires ultra-marins, qui sont dans d’autres fuseaux horaires.

Enfin, Maryse Le Men a également demandé une meilleure information auprès des victimes sur ce numéro afin qu’un maximum de victimes puisse y faire appel.
Le 116 006 reçoit actuellement 45.000 sollicitations sur une année.  

Pour rappel, Le 116  006 assure, grâce à des professionnels formés, une première information et prise en charge de toutes les victimes qui en expriment le besoin de façon anonyme et confidentielle, en matières sociale, juridique et psychologique, avant, pendant et après le temps de la justice.

Le numéro est ouvert 7j/7 de 9h à 20h et accessible aux personnes sourdes, malentendantes, sourdaveugles et aphasiques via l'application ACCEO.

Pour en savoir plus, le communiqué de presse est à lire ici :  pdf 2022 CP FV post Visite GDS Journée européenne des Victimes (1.69 MB)